Réduire les distances de freinage et la violence en cas de choc, favoriser l’acuité visuelle, diminuer son empreinte carbone et les dépenses de carburant… sont autant de bonnes raisons de diminuer sa vitesse sur les routes. Mais la meilleure des causes reste d’épargner sa vie et celle des autres usagers de la route. La vitesse est en effet le premier facteur de mortalité routière, car elle est l’élément qui conditionne l’accident et sa gravité. Mais pourquoi ? Quelles réalités scientifiques se cachent derrière ces phénomènes ? Concrètement, comment ça marche ?